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Affaires

Facteurs d’employabilité des diplômés en planification financière au Canada

Julian Singh
Last updated: juin 6, 2025 5:05 PM
Julian Singh
24 heures ago
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Le parcours entre l’obtention d’un diplôme en planification financière et l’établissement comme conseiller n’a jamais été aussi complexe au Canada. Bien que l’industrie promette des carrières stables avec des revenus médians avoisinant les 87 000 $ selon les données de Statistique Canada, la réalité pour les nouveaux entrants implique de naviguer dans un labyrinthe de certifications, de compétences relationnelles et d’adaptabilité numérique que de nombreux programmes éducatifs peinent encore à aborder pleinement.

« Nous constatons un écart important entre ce qui est enseigné dans les salles de classe et ce dont les employeurs ont réellement besoin », explique Darren Coleman, gestionnaire de portefeuille chez Raymond James à Toronto. « Les connaissances techniques ne sont que le prix d’entrée maintenant. Les vrais facteurs de différenciation sont la gestion des relations et la maîtrise du numérique. »

Ce décalage crée un paysage difficile tant pour les récents diplômés que pour les responsables du recrutement dans les sociétés de gestion de patrimoine. Une enquête récente d’Advocis a révélé que si 78 % des employeurs en planification financière valorisent les certifications et les connaissances techniques, près de 92 % ont cité les compétences en communication et les aptitudes relationnelles avec les clients comme « critiques » ou « très importantes » lors des décisions d’embauche.

Le paysage du conseil financier subit des changements considérables. Les conseillers baby-boomers prennent leur retraite en masse, créant des opportunités sans précédent, tandis que parallèlement, les attentes des clients concernant la prestation de services numériques se sont considérablement accélérées depuis 2020. Ces pressions créent à la fois des opportunités et des défis pour ceux qui entrent dans la profession.

Pour Maya Brennan, diplômée du programme de planification financière du Collège Seneca l’année dernière, le parcours a nécessité un apprentissage autodirigé supplémentaire au-delà de sa formation formelle. « Mon programme m’a très bien enseigné les aspects techniques, mais j’ai dû chercher du mentorat pour comprendre comment communiquer efficacement des concepts complexes à différents types de clients », explique-t-elle. « Ça a été la courbe d’apprentissage la plus importante. »

En examinant les trajectoires professionnelles réussies en début de carrière, plusieurs facteurs distincts d’employabilité émergent pour les diplômés en planification financière dans le contexte canadien.

La diversité des certifications est devenue de plus en plus importante. Au-delà de la désignation de base de Planificateur financier personnel (PFP), les employeurs montrent une préférence pour les candidats qui ont poursuivi des certifications spécialisées alignées sur l’orientation de leur entreprise. Le Certified Financial Planner (CFP) reste la référence, mais les certificats dans des domaines comme l’investissement responsable, la planification pour les aînés ou la prestation de conseils numériques sont devenus des facteurs de différenciation précieux.

L’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières rapporte que les pratiques avec des domaines de certification spécialisés ont connu des taux de croissance 23 % plus élevés au cours des cinq dernières années par rapport aux pratiques généralistes. Cela suggère que les diplômés devraient être stratégiques quant à la manière dont ils superposent les certifications au-delà de leurs qualifications initiales.

La maîtrise technique des logiciels de planification et des systèmes de gestion de la relation client est devenue non négociable. Les programmes de planification financière qui intègrent une expérience pratique avec des outils comme Croesus, Conquest et Advisor Workstation connaissent des taux d’emploi nettement plus élevés pour leurs diplômés. Les entreprises ne peuvent tout simplement pas se permettre le retard de productivité d’une formation technologique approfondie en cours d’emploi.

« Quand j’embauche, je recherche des candidats qui peuvent être immédiatement opérationnels avec notre arsenal technologique », note Jennifer Robertson, responsable du recrutement chez IG Gestion de patrimoine. « La courbe d’apprentissage technique est déjà assez abrupte sans avoir à enseigner les bases de la littératie numérique. »

Plus important encore, les compétences relationnelles sont devenues le facteur déterminant dans la progression de carrière précoce. La capacité à expliquer simplement des concepts complexes, à établir des rapports avec divers clients et à faire preuve d’intelligence émotionnelle pendant la volatilité du marché se classe systématiquement comme la priorité absolue des employeurs dans les enquêtes du secteur.

Le Conseil des normes de planification financière a récemment introduit des exigences de compétence en communication dans leur cadre de certification, reconnaissant ce changement. Les programmes qui incorporent des scénarios de simulation client, des jeux de rôle observés et du coaching en communication produisent des diplômés qui progressent plus rapidement.

« Les récents diplômés les plus performants que j’ai vus sont ceux qui peuvent traduire des connaissances techniques en conversations significatives avec les clients », observe Michael Thorpe, conseiller senior qui encadre de nouveaux planificateurs chez Edward Jones. « Ils comprennent que la planification concerne finalement les personnes, pas seulement les chiffres. »

Les dynamiques régionales jouent également un rôle important dans l’employabilité. Les centres urbains comme Toronto, Vancouver et Montréal montrent une demande plus forte pour les capacités multilingues et la familiarité avec les questions de planification transfrontalière. Parallèlement, les conseillers dans les petites communautés ont souvent besoin de connaissances plus larges dans plusieurs domaines de planification plutôt qu’une spécialisation approfondie.

Les données d’emploi régionales de l’Association de planification financière du Canada révèlent que les pratiques rurales et des petites villes accordent une plus grande importance à l’implication communautaire et aux connaissances des entreprises locales lors de l’embauche, tandis que les employeurs urbains privilégient l’expertise spécialisée et les capacités de marketing numérique.

Pour l’avenir, plusieurs facteurs émergents semblent prêts à remodeler les exigences d’employabilité. Les connaissances en finance comportementale sont de plus en plus valorisées à mesure que les entreprises reconnaissent l’importance de la psychologie client dans les relations de planification réussies. La compréhension des cadres d’investissement durable est passée d’un intérêt de niche à une compétence fondamentale alors que la demande des clients pour des portefeuilles alignés sur l’ESG continue de croître.

Plus significativement, les compétences en analyse de données deviennent un facteur de différenciation clé. Les conseillers qui peuvent exploiter les données clients pour identifier les opportunités de planification et démontrer leur valeur progressent plus rapidement que leurs pairs qui s’appuient uniquement sur les compétences relationnelles.

« L’avenir appartient aux conseillers qui peuvent mélanger l’élément humain avec des insights basés sur les données », affirme Carol Williams, responsable du développement des conseillers dans une importante société canadienne de gestion de patrimoine. « Nous recherchons de plus en plus des diplômés qui montrent des aptitudes dans les deux domaines. »

Pour les établissements d’enseignement, ces demandes changeantes créent à la fois des défis et des opportunités. Les programmes qui maintiennent des partenariats étroits avec l’industrie, intègrent l’apprentissage expérientiel et adaptent rapidement le curriculum aux tendances émergentes produisent des diplômés avec des taux d’emploi et une progression de carrière substantiellement plus élevés.

Le paysage de l’emploi pour les diplômés en planification financière au Canada reste robuste, l’Agence de la consommation en matière financière du Canada prévoyant une croissance continue de la demande de conseils financiers. Cependant, cette croissance favorise de plus en plus les candidats qui apportent une combinaison de fondements techniques, de compétences relationnelles et d’adaptabilité numérique.

Pour ceux qui entrent dans la profession, le message est clair : l’éducation formelle ne fournit que les fondements. Le développement continu des compétences, l’acquisition stratégique de certifications et un engagement à maîtriser à la fois les aspects humains et techniques de la prestation de conseils sont les véritables clés d’une progression de carrière durable dans la planification financière canadienne.

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