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Media Wall News > Économie > La charge fiscale des ménages canadiens en 2024 dépasse 42 % du revenu
Économie

La charge fiscale des ménages canadiens en 2024 dépasse 42 % du revenu

Julian Singh
Last updated: juillet 22, 2025 4:25 PM
Julian Singh
7 heures ago
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Le fardeau fiscal des ménages canadiens a discrètement dépassé les dépenses essentielles comme le logement, la nourriture et les vêtements combinés, selon une étude récemment publiée par l’Institut Fraser.

« Ce qui me frappe dans ces chiffres, ce n’est pas seulement le pourcentage, mais le seuil psychologique que nous avons franchi, » explique Elizabeth Chen, chercheuse en politique fiscale à l’Université Ryerson. « Quand le gouvernement prend plus de 42 cents sur chaque dollar gagné, cela change fondamentalement la façon dont les familles abordent leur planification financière. »

Le calcul annuel du Jour de libération fiscale – qui marque symboliquement quand les Canadiens cessent de travailler pour le gouvernement et commencent à conserver leurs revenus – tombe maintenant début juin, presque une semaine plus tard qu’en 2019, avant que les dépenses liées à la pandémie n’accélèrent l’emprunt gouvernemental.

Pour mettre les choses en perspective, la famille canadienne moyenne gagnant 104 500 $ a payé environ 44 200 $ en impôts totaux l’année dernière. Cela comprend les déductions visibles comme l’impôt sur le revenu et la TPS, mais aussi des charges moins évidentes comme les taxes foncières, les taxes sur le carbone et les taxes sur l’alcool. Pendant ce temps, le même ménage a dépensé environ 36 800 $ pour les nécessités de la vie – nourriture, logement et vêtements.

Le bureau de la ministre des Finances Chrystia Freeland conteste la méthodologie, notant dans une déclaration que « les familles canadiennes bénéficient substantiellement de ces impôts à travers les soins de santé, l’éducation et les infrastructures. » La déclaration souligne que le Canada maintient des taux d’imposition compétitifs par rapport à de nombreux pays de l’OCDE.

Cependant, les défenseurs des petites entreprises dressent un tableau différent. Martine Leblanc, propriétaire d’une boutique de vêtements à Montréal, m’a confié qu’elle constate les effets en aval de la fiscalité. « Mes clients mentionnent de plus en plus le fardeau fiscal lorsqu’ils décident d’acheter ou non. Il n’y a qu’une certaine quantité de revenu disponible. »

La publication de ce rapport coïncide avec les dernières données de Statistique Canada montrant que les prix de base augmentent de 2,8 % par an – techniquement dans la fourchette cible de la Banque du Canada, mais exerçant toujours une pression sur les budgets des ménages déjà étirés par les renouvellements d’hypothèques à des taux plus élevés.

Les différences provinciales révèlent des tendances surprenantes. Les résidents du Québec font face au fardeau combiné le plus élevé à 45,1 % du revenu, tandis que les familles de la Saskatchewan profitent du plus bas à 38,7 %. Cette variation régionale reflète différentes approches en matière de dépenses sociales et de génération de revenus, les provinces riches en ressources imposant généralement des charges fiscales plus légères.

« Ce ne sont pas que des statistiques – elles représentent de vrais compromis que les familles font quotidiennement, » explique Damon Williams, économiste chez BMO Marchés des capitaux. « Quand les charges fiscales atteignent ces niveaux, nous voyons typiquement des achats majeurs retardés, des dépenses discrétionnaires réduites, et finalement une croissance économique plus lente. »

Les données de Statistique Canada montrent que la répartition de ce fardeau n’est pas uniforme à travers les niveaux de revenus. Les 20 % des plus hauts revenus contribuent approximativement à 54 % du total des impôts sur le revenu perçus, tout en recevant proportionnellement moins d’avantages directs des programmes gouvernementaux.

Pour les familles de la classe moyenne, l’impact se manifeste dans des décisions de vie reportées. Un récent sondage Angus Reid a révélé que 41 % des Canadiens âgés de 25 à 40 ans citent le « fardeau fiscal actuel » parmi leurs trois principales raisons pour retarder le fait d’avoir des enfants ou d’acheter une maison.

Le contexte historique est tout aussi révélateur. En 1961, la famille canadienne moyenne payait environ 33 % de ses revenus en impôts, selon les archives gouvernementales. Cette augmentation constante représente l’un des changements les plus significatifs dans la dynamique financière des ménages au cours des six dernières décennies.

Alors que les Canadiens examinent leurs fiches de paie et leurs déclarations fiscales cette année, ces chiffres fournissent un contexte pour la conversation nationale en cours sur le niveau de services gouvernementaux que les citoyens attendent et le prix qu’ils sont prêts à payer. Avec les élections fédérales qui approchent l’année prochaine, la politique fiscale figurera inévitablement en bonne place dans les plateformes des partis.

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TAGGED:Fardeau fiscalFinances familialesImpôts des ménages
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