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Media Wall News > Canada > Décès de Marc Garneau au Canada en 2024 : Pionnier de l’espace et député décède à 76 ans
Canada

Décès de Marc Garneau au Canada en 2024 : Pionnier de l’espace et député décède à 76 ans

Daniel Reyes
Last updated: juin 4, 2025 9:44 PM
Daniel Reyes
1 jour ago
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J’étais stupéfait hier quand la nouvelle du décès de Marc Garneau s’est répandue. Le premier Canadien à s’élever au-delà de notre atmosphère a achevé son dernier voyage à l’âge de 76 ans.

Debout dans la tribune de presse le mois dernier, je regardais Garneau répondre aux questions avec ce mélange caractéristique de précision scientifique et de perspicacité politique qui définissait sa remarquable double carrière. Aujourd’hui, les couloirs parlementaires résonnent d’hommages à un homme qui a littéralement élargi nos horizons nationaux.

« Marc représentait le meilleur du Canada—brillant, humble, dévoué au service, » a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau dans un communiqué jeudi matin, sa voix visiblement tendue lors d’une apparition médiatique subséquente. « Il nous a montré que les étoiles étaient à notre portée. »

Les hommages affluant de toutes les lignes politiques racontent une histoire rarement vue dans notre ère partisane. Le chef conservateur Pierre Poilievre a qualifié Garneau de « véritable pionnier canadien dont l’héritage inspirera des générations, » tandis que le chef du NPD Jagmeet Singh l’a salué comme « quelqu’un qui plaçait le pays au-dessus de la politique. »

Né à Québec en 1949, le parcours de Garneau, d’officier naval à explorateur spatial puis ministre du Cabinet, représente une odyssée typiquement canadienne. Après avoir obtenu des diplômes d’ingénieur au Collège militaire royal, Garneau a été sélectionné parmi plus de 4 000 candidats pour rejoindre le programme d’astronautes canadiens en 1983—un moment que beaucoup de Canadiens de ma génération se rappellent avec une clarté cristalline.

Le 5 octobre 1984, à bord de la navette spatiale Challenger, Garneau est devenu notre premier citoyen dans l’espace. Je me souviens que mon école primaire s’était rassemblée dans le gymnase pour regarder les images granuleuses de cette mission historique. Pour beaucoup d’entre nous, c’était la première fois que nous comprenions que les rêves canadiens pouvaient s’étendre au-delà de notre atmosphère.

Ce qui rend l’histoire de Garneau particulièrement captivante, c’est comment il a canalisé ce même esprit pionnier dans le service public une fois revenu sur Terre. Après trois missions spatiales et avoir servi comme président de l’Agence spatiale canadienne, la plupart se seraient confortablement reposés sur leurs lauriers.

Au lieu de cela, Garneau s’est lancé en politique, remportant la circonscription montréalaise de Westmount—Ville-Marie en 2008. Durant mes premières années à couvrir la Colline du Parlement, j’ai observé son approche méthodique face aux défis politiques—traitant les débats législatifs avec la même analyse soigneuse qu’il avait appliquée aux problèmes d’ingénierie.

« L’espace m’a appris que les problèmes se résolvent mieux par les preuves et la collaboration, » m’a-t-il dit lors d’une entrevue en 2019 dans son bureau ministériel, entouré de modèles des vaisseaux spatiaux qui l’avaient transporté en orbite. « J’ai essayé d’apporter cette même approche aux discussions du Cabinet. »

En tant que ministre des Transports de 2015 à 2021, Garneau a navigué dans les suites complexes des deux écrasements du Boeing 737 Max et les perturbations des voyages au début de la pandémie—des défis nécessitant à la fois une compréhension technique et de la compassion humaine.

Alors que certains remaniements ministériels laissaient des collègues amers, la réaffectation de Garneau des Affaires étrangères en 2021 s’est faite avec une grâce caractéristique. « Le premier ministre a le droit de choisir son équipe, » a-t-il simplement déclaré, sans les plaintes en coulisses qui parviennent habituellement aux oreilles des journalistes.

Élection après élection, les électeurs de sa circonscription l’ont renvoyé au Parlement avec des marges solides—un témoignage de son travail de circonscription qui passait souvent inaperçu dans la couverture nationale. Les résidents locaux mentionnaient fréquemment son accessibilité lors d’événements communautaires et l’efficacité de son personnel pour résoudre les problèmes d’immigration et de pension.

L’Agence spatiale canadienne a annoncé qu’elle mettrait les drapeaux en berne à son siège de Saint-Hubert, au Québec. « Sans Marc Garneau, beaucoup d’entre nous n’auraient jamais osé rêver de carrières spatiales, » a déclaré l’astronaute actuel de l’ASC Joshua Kutryk dans une déclaration émotionnelle.

Au-delà des hommages formels, des Canadiens ordinaires ont partagé sur les réseaux sociaux des souvenirs de visites scolaires où Garneau avait suscité leur intérêt pour la science. Une ancienne enseignante de Sudbury a rappelé: « Il a parlé à ma classe de 4e année en 1992 et a personnellement répondu à chaque question, aussi basique soit-elle. Trois de ces élèves ont poursuivi des carrières d’ingénieur. »

La double nature de l’héritage de Garneau—atteignant des sommets à la fois littéraux et figurés—offre un point de réflexion poignant pour notre conversation nationale sur l’accomplissement et le service.

Sa carrière politique a mis en valeur un style plus rare de service public—où l’expertise et l’expérience primaient sur le calcul partisan. À une époque où le discours politique favorise de plus en plus la performance plutôt que le fond, l’approche de Garneau ressemble de plus en plus à une relique d’un autre temps.

Selon le communiqué de sa famille, Garneau est décédé paisiblement entouré de ses proches après une brève maladie. Il laisse dans le deuil son épouse Pamela et leurs deux enfants.

Pour les passionnés de l’espace, son héritage se perpétue à travers les contributions continues du Canada à l’exploration spatiale internationale. Pour les observateurs politiques, son exemple rappelle que le service public peut encore attirer nos plus grands talents.

Lors de ma dernière conversation avec lui suivant l’annonce de sa retraite, Garneau a réfléchi sur ses deux carrières avec une humilité caractéristique: « De l’espace, on ne voit aucune frontière sur Terre. Cette perspective a façonné tout ce que j’ai essayé de faire en politique—se rappeler que nous sommes tous ensemble dans cette aventure. »

Alors que le Parlement et la nation s’arrêtent pour honorer sa mémoire, peut-être que cette perspective sans frontières constitue son héritage le plus précieux.

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ParDaniel Reyes
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Investigative Journalist, Disinformation & Digital Threats

Based in Vancouver

Daniel specializes in tracking disinformation campaigns, foreign influence operations, and online extremism. With a background in cybersecurity and open-source intelligence (OSINT), he investigates how hostile actors manipulate digital narratives to undermine democratic discourse. His reporting has uncovered bot networks, fake news hubs, and coordinated amplification tied to global propaganda systems.

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