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Media Wall News > Économie > Meilleure façon d’épargner pour l’éducation des enfants au Canada : Conseils financiers intelligents
Économie

Meilleure façon d’épargner pour l’éducation des enfants au Canada : Conseils financiers intelligents

Julian Singh
Last updated: septembre 17, 2025 8:14 AM
Julian Singh
2 heures ago
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Je me souviens que mon voisin, Thomas, m’a montré le fonds universitaire de sa fille nouveau-née—une simple enveloppe contenant 100 $ avec une note griffonnée à la hâte : « L’avenir de Sarah ». Ses intentions étaient en or, mais son approche nécessitait quelques ajustements.

Pour les parents et grands-parents canadiens, épargner pour l’éducation d’un enfant est devenu aussi essentiel que les pratiques de hockey et les pneus d’hiver. Avec des frais de scolarité universitaires moyens de 7 400 $ par an—et ce, avant les manuels scolaires, le logement ou le fonds occasionnel pour les pizzas d’urgence—commencer tôt n’est pas seulement intelligent, c’est nécessaire.

« Le défi n’est pas de convaincre les familles qu’elles devraient épargner pour l’éducation », explique Lesley-Anne Scorgie, éducatrice en finances personnelles et fondatrice de MeVest. « C’est de les aider à naviguer dans le labyrinthe des options sans laisser d’argent sur la table. »

Le paysage de l’épargne-études a considérablement évolué depuis l’époque où un emploi d’été pouvait couvrir les frais de scolarité d’une année. Les parents d’aujourd’hui font face à un écosystème complexe de régimes enregistrés, de subventions et de stratégies d’investissement. La bonne nouvelle ? Le gouvernement veut aider—si vous savez où chercher.

REEE : La fondation de l’épargne-études

Le Régime enregistré d’épargne-études (REEE) reste la pierre angulaire des stratégies de financement des études pour une bonne raison. Lorsque les parents cotisent à un REEE, le gouvernement fédéral ajoute la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE)—essentiellement de l’argent gratuit qui correspond à 20 % des cotisations annuelles jusqu’à 500 $ par an, avec une limite à vie de 7 200 $ par bénéficiaire.

« Un REEE, c’est comme trouver un coupon de 20 % de réduction pour l’avenir de votre enfant », déclare Jamie Golombek, directeur général de la planification fiscale et successorale chez CIBC Gestion de patrimoine. « Aucun autre véhicule d’épargne-études n’offre ce rendement immédiat et garanti. »

Pour les familles à revenus modestes, le gouvernement améliore davantage l’offre avec le Bon d’études canadien, fournissant jusqu’à 2 000 $ sans exiger de cotisations personnelles—pourtant, seulement environ un tiers des enfants admissibles le reçoivent en raison d’un manque de sensibilisation.

Ce que beaucoup de parents ne réalisent pas, c’est la flexibilité de ces comptes. Les REEE peuvent rester ouverts pendant 36 ans, et si votre enfant décide de ne pas poursuivre d’études postsecondaires, vous avez des options : transférer les fonds aux frères et sœurs, transférer la croissance dans votre REER (selon l’espace de cotisation disponible), ou retirer les revenus accumulés (en payant des impôts plus une pénalité de 20 %).

Au-delà du REEE : Stratégies complémentaires

Bien que les REEE brillent comme le principal véhicule de financement des études, les parents avisés élaborent de plus en plus des approches complémentaires.

« Pensez à l’épargne-études comme à la préparation d’un bon repas—vous avez besoin de plus d’un ingrédient », conseille Scorgie. « Un REEE pourrait être votre protéine, mais vous avez aussi besoin d’accompagnements. »

Les Comptes d’épargne libre d’impôt (CELI) offrent un complément flexible. Contrairement aux REEE, les retraits CELI n’ont pas de conditions attachées et peuvent couvrir des dépenses que les REEE ne couvrent pas, comme une voiture pour se rendre à l’école ou les frais de démarrage pour un premier appartement.

Certaines familles explorent des voies moins conventionnelles. Graeme et Sofia Chen de Vancouver ont structuré leur hypothèque pour maintenir une marge de crédit hypothécaire réutilisable spécifiquement pour les dépenses d’éducation. « Nous tirons essentiellement parti de notre capital immobilier pour investir dans le capital humain de nos enfants », explique Graeme. « Les intérêts pourraient être déductibles d’impôt si nous structurons correctement, bien que cette approche ne convienne pas à tout le monde. »

Stratégies d’investissement : Approches adaptées à l’âge

Le comment compte autant que le où quand il s’agit d’épargne-études. Un nouveau-né et un élève de secondaire nécessitent des approches d’investissement radicalement différentes.

Jason Heath, directeur général chez Objective Financial Partners, suggère une approche à échelle mobile : « Pour les jeunes enfants, vous pouvez vous permettre d’être agressif avec des investissements axés sur la croissance. Lorsqu’ils entrent au secondaire, c’est le moment de commencer à passer à la préservation du capital. »

Cette stratégie reflète l’impact du calendrier sur la tolérance au risque. Avec un horizon de 15 ans, la volatilité du marché devient moins préoccupante. Pour les enfants qui approchent de l’âge universitaire, cependant, une correction du marché pourrait être dévastatrice pour les plans de financement à court terme.

Les parents d’aujourd’hui utilisent de plus en plus des portefeuilles FNB tout-en-un qui se rééquilibrent automatiquement en fonction des horizons temporels. « L’approche « programmer et oublier » fonctionne bien pour les parents occupés », note Heath. « Quelque chose comme un fonds à date cible qui devient plus conservateur à mesure que votre enfant approche de l’âge universitaire peut éliminer l’émotion de l’investissement. »

Les données soutiennent cette approche. Selon une étude sur l’épargne-études de la Banque de Montréal, les parents qui ont établi un plan de cotisation automatique régulier ont accumulé 30 % de plus en épargne-études que ceux qui font des cotisations forfaitaires occasionnelles, même lorsque les montants totaux étaient similaires.

Pièges courants et idées fausses

Malgré les avantages évidents, les Canadiens laissent des millions en subventions potentielles d’éducation non réclamées chaque année. Les modèles révèlent plusieurs idées fausses persistantes.

« La plus grande erreur que je vois est la paralysie par l’analyse », dit Scorgie. « Les parents attendent le « moment parfait » pour commencer un REEE, manquant des années de croissance potentielle et de subventions. »

D’autres erreurs courantes incluent :

Se concentrer exclusivement sur les REEE sans considérer la santé financière globale de la famille. Établir une épargne d’urgence et rembourser les dettes à intérêt élevé devrait venir en premier.

Les grands-parents qui ouvrent des REEE séparés sans coordonner avec les parents, compliquant potentiellement les stratégies de maximisation des subventions.

Surcotiser au-delà de la limite à vie de 50 000 $ par bénéficiaire, ce qui n’attire pas de subventions supplémentaires et peut créer des complications fiscales.

Ne pas nommer un souscripteur successeur sur les comptes REEE, ce qui peut créer des maux de tête administratifs si le titulaire du compte original décède.

Le coût réel de l’attente

Les mathématiques du retard sont sobres. Une famille qui commence un REEE à la naissance de son enfant, cotisant 2 500 $ annuellement pour maximiser les subventions, accumulerait environ 87 000 $ à l’âge de 18 ans (en supposant un rendement de 5 %). Attendre seulement cinq ans réduit ce total à environ 55 000 $—une différence qui représente près de deux années complètes d’éducation universitaire.

« Le temps est littéralement de l’argent quand il s’agit d’épargne-études », explique Golombek. « Chaque année de retard signifie sacrifier à la fois la croissance composée et les subventions gouvernementales qui ne reviendront jamais. »

S’adapter à l’évolution de l’éducation

Le paysage éducatif lui-même continue d’évoluer, créant de nouvelles considérations pour les épargnants d’aujourd’hui. Les options d’apprentissage à distance, les micro-crédits et les parcours éducatifs non traditionnels signifient que les enfants pourraient accéder aux fonds différemment des générations précédentes.

« Nous nous préparons pour des opportunités éducatives qui n’existent peut-être même pas encore », note Maya Richardson, dont les filles ont 7 et 9 ans. « J’épargne à la fois dans des REEE et des CELI pour leur donner un maximum de flexibilité, qu’elles veuillent un diplôme traditionnel, un bootcamp de codage ou une expérience internationale. »

Cette mentalité de flexibilité représente un changement par rapport aux générations précédentes, qui épargnaient souvent avec un diplôme universitaire de quatre ans comme destination présumée.

Commencer aujourd’hui : Premières étapes pratiques

Pour les parents qui n’ont pas encore commencé, les conseillers financiers recommandent une approche simple :

1. Ouvrir un compte REEE auprès d’une institution financière qui offre flexibilité et frais raisonnables.

2. Mettre en place des cotisations automatiques, même petites, pour créer l’habitude d’épargner.

3. Demander le Bon d’études canadien si admissible.

4. Communiquer votre plan d’épargne-études aux membres de la famille qui pourraient vouloir contribuer sous forme de cadeaux.

5. Revisiter votre stratégie annuellement à mesure que la situation financière de votre famille évolue.

L’étape la plus importante reste la première. Comme Thomas, mon voisin, l’a finalement appris après avoir consulté un conseiller financier, même des débuts modestes peuvent se transformer en fonds d’éducation significatifs—mais seulement si vous commencez.

Le fonds universitaire de sa fille est passé de cette enveloppe à un véritable REEE avec des cotisations mensuelles. Sarah a maintenant cinq ans, et son fonds d’éducation contient près de 20 000 $—une amélioration significative par rapport aux 100 $ originaux, et un témoignage de la puissance de commencer quelque part, même imparfaitement.

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