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Politique

La Proposition de loi 5 de l’Ontario : Amendements 2024 en Réexamen, Principes Fondamentaux Maintenus

Daniel Reyes
Last updated: mai 27, 2025 8:48 PM
Daniel Reyes
2 jours ago
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Alors que le controversé projet de loi 5 de l’Ontario fait face à des amendements potentiels, le ministre des Affaires municipales Paul Calandra insiste sur le fait que « l’essence » de la législation restera intacte malgré la pression croissante des municipalités et des groupes de défense.

« Nous écoutons, mais les aspects fondamentaux de ce projet de loi ne bougeront pas, » a déclaré Calandra aux journalistes hier à l’extérieur de Queen’s Park. Le ministre a reconnu que son bureau examine les commentaires reçus, mais a souligné la détermination de la province à aller de l’avant avec cette législation axée sur le logement.

Le projet de loi 5, officiellement intitulé « Loi visant à réduire les formalités administratives pour construire plus de logements« , a suscité un débat intense dans les communautés ontariennes depuis son introduction le mois dernier. La législation accorde à la province des pouvoirs sans précédent pour passer outre les décisions d’urbanisme municipal et simplifier les approbations pour les développements résidentiels près des corridors de transport en commun.

La mairesse de Toronto, Olivia Chow, a exprimé sa frustration lors de la réunion du conseil de mardi. « Encore une fois, Queen’s Park semble déterminé à démolir la prise de décision locale tout en prétendant collaborer, » a-t-elle déclaré, en s’appuyant sur l’analyse des urbanistes de la ville qui suggère que le projet de loi pourrait réduire les exigences en matière de logements abordables dans les grands projets jusqu’à 35 %.

L’Association municipale de l’Ontario a publié hier des données de sondage montrant que 68 % des résidents estiment que les gouvernements locaux devraient conserver le contrôle principal sur les décisions d’urbanisme. « Il ne s’agit pas de résister au changement, » a déclaré le président de l’AMO, James Williams. « Il s’agit de garantir que la croissance se fasse de manière responsable avec une planification adéquate des infrastructures. »

Des sources internes à Queen’s Park suggèrent que les amendements pourraient se concentrer sur trois domaines : prolonger les délais de mise en œuvre, préserver certaines normes municipales de conception et potentiellement renforcer les dispositions sur le logement abordable. Cependant, la province reste ferme sur l’élimination de certaines exigences d’évaluation environnementale et de consultation communautaire.

Patricia Gomez, défenseure du logement chez BuildON, voit du potentiel dans le projet de loi mais s’inquiète des conséquences imprévues. « Nous avons désespérément besoin de logements, particulièrement dans la région du Grand Toronto et de Hamilton, mais précipiter le développement sans planification adéquate pourrait créer les problèmes de demain, » m’a-t-elle confié lors d’un forum communautaire à Mississauga la semaine dernière.

Les impacts du projet de loi varieraient considérablement à travers la province. Des communautés plus petites comme Belleville et Kingston ont exprimé des inquiétudes quant au manque de ressources pour traiter les demandes de développement accélérées, tandis que les grandes villes s’inquiètent de la capacité des infrastructures.

Le premier ministre Doug Ford a défendu la législation lors d’une visite sur un chantier de construction à Hamilton lundi. « Écoutez, nous sommes en pleine crise du logement. Quand les jeunes ne peuvent pas se permettre un logement, c’est que quelque chose ne va pas. Ce projet de loi règle cela, » a déclaré Ford, bien qu’il n’ait pas abordé les préoccupations municipales spécifiques concernant les défis de mise en œuvre.

Des groupes environnementaux, dont Défense environnementale, ont critiqué les dispositions permettant le développement sur des terres auparavant protégées. « Il y a une différence entre réduire les formalités administratives et éliminer des protections essentielles, » a déclaré Anika Singh, directrice des politiques de l’organisation. « Certains de ces changements risquent d’endommager à long terme les bassins versants et les espaces verts qui rendent justement les communautés habitables. »

Le projet de loi est actuellement en comité, où les délégations des parties prenantes se poursuivent jusqu’à la semaine prochaine. Des initiés du gouvernement suggèrent que la législation amendée pourrait retourner à l’assemblée législative début juin, avec une mise en œuvre débutant cet automne.

La critique de l’opposition en matière de logement, Jessica Bell, a qualifié le processus de consultation de « représentation » tout en soulignant les registres de financement de campagne montrant d’importantes donations de promoteurs au parti au pouvoir. « Ce projet de loi a été rédigé par et pour les promoteurs, pas les communautés, » a affirmé Bell pendant la période des questions.

Pour les Ontariens ordinaires, les impacts immédiats restent flous. Les constructeurs suggèrent que les mises en chantier pourraient augmenter de 25 000 unités par an selon les nouvelles règles, modérant potentiellement la croissance des prix dans les années à venir. Cependant, les responsables municipaux préviennent que les coûts accrus d’infrastructure pourraient ultimement être répercutés sur les contribuables.

La Ville d’Ottawa estime que la mise en œuvre du projet de loi 5 pourrait nécessiter l’embauche d’au moins 18 employés supplémentaires en urbanisme à un coût d’environ 2,3 millions de dollars par an. Des préoccupations similaires concernant les contraintes de ressources ont été soulevées par les municipalités de taille moyenne à travers la province.

Morgan Chen, analyste immobilier chez UrbanMetrics, estime que les impacts sur le marché pourraient être moins spectaculaires que ce que suggèrent les deux parties. « Les délais de développement sont influencés par de nombreux facteurs au-delà des approbations, notamment le financement, la disponibilité de la main-d’œuvre et le coût des matériaux, » a expliqué Chen. « Ce projet de loi ne traite qu’une pièce d’un puzzle complexe. »

Alors que la province envisage des amendements, la question fondamentale demeure de savoir si la simplification des approbations de développement suffit à elle seule à résoudre de manière significative la crise du logement en Ontario sans créer de nouveaux problèmes pour les communautés. La réponse pourrait ne pas être claire avant plusieurs années.

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ParDaniel Reyes
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Investigative Journalist, Disinformation & Digital Threats

Based in Vancouver

Daniel specializes in tracking disinformation campaigns, foreign influence operations, and online extremism. With a background in cybersecurity and open-source intelligence (OSINT), he investigates how hostile actors manipulate digital narratives to undermine democratic discourse. His reporting has uncovered bot networks, fake news hubs, and coordinated amplification tied to global propaganda systems.

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