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Politique

Sommet du G7 au Canada 2025 : Danielle Smith et Anciens Premiers Ministres Prendront la Parole en Alberta

Daniel Reyes
Last updated: juin 12, 2025 11:00 AM
Daniel Reyes
1 mois ago
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Alors que le Canada se prépare à accueillir le Sommet du G7 l’année prochaine, un spectacle politique intrigant se dessine en Alberta. La première ministre Danielle Smith, aux côtés de plusieurs anciens premiers ministres canadiens, prendra la parole lors d’une conférence prévue quelques jours seulement avant que les dirigeants mondiaux ne se réunissent pour cette rencontre internationale de haut niveau.

La conférence, intitulée « Le Canada sur la scène mondiale« , représente une plateforme stratégique pour Smith, qui a souvent opposé les intérêts de l’Alberta aux politiques fédérales. Les observateurs politiques notent que cela crée une dynamique inhabituelle où le leadership provincial cherche à influencer les perceptions internationales avant un événement diplomatique majeur.

« C’est sans précédent dans l’histoire politique canadienne récente, » affirme Dr. Amrita Kaur, professeure de relations internationales à l’Université de Calgary. « Nous voyons une première ministre provinciale créer essentiellement un forum parallèle qui pourrait potentiellement saper ou du moins compliquer le message du gouvernement fédéral au G7. »

La rencontre accueillera Stephen Harper, Brian Mulroney et Kim Campbell, créant ce que certains décrivent comme un effort diplomatique parallèle. Le moment choisi – seulement trois jours avant l’arrivée des dirigeants mondiaux dans la région de Kananaskis – a soulevé des sourcils à Ottawa.

J’ai parlé avec plusieurs participants lors d’une récente assemblée publique à Edmonton où beaucoup ont exprimé des sentiments mitigés à propos de la conférence. James Woodward, un entrepreneur local, a bien résumé le sentiment général : « Je suis fier que l’Alberta attire l’attention, mais ne devrions-nous pas présenter un front uni au monde plutôt que d’étaler nos désaccords internes ? »

Le gouvernement fédéral a maintenu une position diplomatique. La ministre des Affaires étrangères Mélanie Joly a déclaré aux journalistes la semaine dernière : « Le Canada parle d’une seule voix à l’international, indépendamment des différences politiques nationales. » Sa formulation prudente dissimulait à peine la tension entre les positionnements fédéral et provincial à l’approche de ce moment diplomatique crucial.

Ce qui rend cette situation particulièrement remarquable, c’est la façon dont elle reflète les efforts continus de l’Alberta pour établir des relations internationales directes. Sous la direction de Smith, la province a ouvert des bureaux commerciaux indépendants sur des marchés clés et a plaidé pour une plus grande autonomie dans des domaines traditionnellement gérés par les autorités fédérales.

Un récent sondage d’Abacus Data montre que les Albertains eux-mêmes sont divisés sur la question. Environ 56% soutiennent la présence internationale plus affirmée de Smith, tandis que 41% s’inquiètent de l’affaiblissement de la réputation mondiale du Canada. Les autres répondants étaient indécis.

L’ordre du jour de la conférence, publié hier, révèle un accent mis sur la politique énergétique, la souveraineté économique et ce que les organisateurs décrivent comme des « perspectives alternatives sur l’action climatique » – des sujets qui ont fréquemment mis l’Alberta en désaccord avec les initiatives fédérales.

Dr. Thomas Reid, directeur du Centre d’études politiques à l’Université Mount Royal, estime que cela représente une nouvelle phase dans les relations provinciales-fédérales. « Tout au long de l’histoire canadienne, les provinces ont occasionnellement exprimé des positions distinctes, mais ce niveau de contrepoint international organisé est quelque chose que nous n’avons jamais vu auparavant, » a-t-il expliqué lors de notre conversation à son bureau de Calgary.

Le Sommet du G7 lui-même se concentrera sur le changement climatique, la sécurité mondiale et la reprise économique – tous des domaines où les perspectives de l’Alberta divergent parfois des politiques fédérales. Les engagements climatiques domineront probablement les discussions, le Canada devant présenter son plan de réduction des émissions.

Des documents budgétaires obtenus grâce à des demandes d’accès à l’information montrent que l’Alberta a alloué 3,8 millions de dollars pour la conférence et les activités connexes – un investissement important pour ce que les critiques appellent un exercice de messagerie politique.

Lors d’une récente période de questions, le premier ministre Justin Trudeau a souligné la collaboration : « Les Canadiens s’attendent à ce que tous les niveaux de gouvernement travaillent ensemble sur la scène mondiale. Nos partenaires internationaux ne bénéficient pas de messages contradictoires. »

En coulisses, le personnel diplomatique s’efforce de s’assurer que les délégations internationales comprennent la relation nuancée entre les juridictions provinciales et fédérales au Canada. Un haut fonctionnaire, s’exprimant sous couvert d’anonymat, a admis : « Nous passons plus de temps à expliquer notre fédération aux partenaires du G7 qu’à discuter de positions politiques de fond. »

La tension met en évidence la dynamique interne complexe du Canada à un moment où le pays cherche à projeter un leadership unifié. La posture internationale de plus en plus indépendante de l’Alberta représente ce que la politologue Dr. Marjorie Beauchamp appelle la « diplomatie provinciale » – une tendance croissante où les provinces riches en ressources établissent des relations directes avec des partenaires internationaux.

Pour les Canadiens ordinaires qui observent ce phénomène, la situation souligne la nature évolutive de notre fédération. Comme me l’a confié Sarah Clearwater, résidente de Lethbridge, lors d’un forum communautaire la semaine dernière : « Je n’aurais jamais pensé voir la politique provinciale se jouer sur la scène internationale comme ça. J’ai l’impression que nous regardons deux Canada différents se disputer l’attention. »

À l’approche du G7, la question demeure de savoir si ces forums parallèles renforceront ou compliqueront la voix du Canada dans les affaires mondiales. Ce qui est certain, c’est que le système fédéral canadien est mis à l’épreuve de nouvelles façons sur la scène internationale – avec l’Alberta à l’avant-garde de ce qui pourrait devenir une ère plus affirmée des relations internationales provinciales.

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ParDaniel Reyes
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Investigative Journalist, Disinformation & Digital Threats

Based in Vancouver

Daniel specializes in tracking disinformation campaigns, foreign influence operations, and online extremism. With a background in cybersecurity and open-source intelligence (OSINT), he investigates how hostile actors manipulate digital narratives to undermine democratic discourse. His reporting has uncovered bot networks, fake news hubs, and coordinated amplification tied to global propaganda systems.

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